Ces business bizarres qui marchent très bien

Ces business bizarres qui marchent très bien

Les entrepreneurs ne sont pas obligés d’avoir des idées « sérieuses » pour décrocher le jackpot. La preuve avec ces cinq business.

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Tous les chemins mènent au business. C’est bien connu. Maintenant, reste à savoir quel sentier veut-on emprunter : nouvelles technologies, commerce de proximité, industrie. À un moment, il faut choisir. Certains préfèrent cependant faire parler leur imagination débordante. Au risque parfois de passer pour des fous furieux. Voici un panorama des idées farfelues qui ont fini par devenir de véritables bonnes affaires.

Jimini’s, le leader français de la commercialisation d’insectes comestibles

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Jimini’s ou les insectes comestibles

Vous reprendrez bien une sauterelle au paprika ? Ça a l’air fou et pourtant deux jeunes entrepreneurs l’ont fait. Bastien Rabastens et Clément Scellier ont voulu industrialiser le commerce d’insectes à destination du grand public. Une idée au départ saugrenue tant la culture française et occidentale est éloignée de la consommation d’insectes.

Après un an et demi de recherche pour rendre attractifs ses produits, Jimini’s commercialise ses premiers criquets « à la grecque » ou au « Soja impérial ». Et ça marche. La startup vient même de remporter le grand prix Moovjee – Innovons Ensemble. La levée de fonds n’est pas loin.

The Pet Loo, les toilettes d’appartement pour les chiens

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The Pet Loo : des toilettes d’intérieur pour toutous

Vite, vite, se dépêcher avant la catastrophe. Tous les propriétaires de chiens en appartement connaissent cette angoisse. Pour éviter ce type de « fuites », une société australienne Pet Safe a inventé Pet Loo, une sorte de litière pour chiens.

Cela ressemble à un petit bout de jardin synthétique qui va permettre de contenir les petits « cadeaux » de votre animal de compagnie. Très pratique. On peut le mettre partout : l’entrée, la cuisine, le balcon.

Avec l’urbanisation croissante, on se dit que ce marché ne peut que s’agrandir au fil des années.

The Cheese Lady, la sculpture en fromage taille réelle

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La sculpture sur fromage avec The Cheese Lady

« Nous qui rêvions d’avoir notre Venus de Milo en Cheddar ! » A priori, cette idée n’a rien à faire dans le dur monde des affaires. Erreur ! Sarah, ou comme on l’appelle maintenant « The Cheese Lady » a su faire de son talent un business juteux.
Festival, mariages, exposition de vins ou de fromages, événements sportifs. Tout le monde veut désormais sa statue de fromage. La « cheese lady » est même devenue une célébrité au niveau national. Ça ne s’invente pas.

Adopter ou louer une poule, la nouvelle tendance ?

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Adopter ou louer une poule ? C’est possible !

« Pourquoi irais-je adopter une poule ? » Oui, on se le demande. C’est pourtant une réalité. De plus en plus de familles excentrées dans les banlieues parisiennes adoptent un ou plusieurs gallinacés. Ça permet d’avoir des œufs frais. Et puis, c’est moins contraignant qu’un chat ou un chien

Adopter une poule c’est aussi faire un geste pour l’environnement. Les poules pondeuses ont la particularité de manger 150 kg de déchets alimentaires par an.

C’est toujours ça de pris sur les décharges publiques.

Adopter une poule reste néanmoins un engagement. De peur de changer d’avis, certaines familles préfèrent encore… louer. Pour deux cents dollars, des professionnels vous apportent des poules chez vous. Vous les gardez, les nourrissez. C’est seulement après deux mois que vous dites à l’entreprise si vous acceptez de les garder.

Des business florissants de ce genre existent déjà aux USA et en Australie.

Anger room: ils vous offrent une salle pour vous défouler

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Se défouler avec une Anger room

N’avez-vous jamais eu envie de tout casser ? Ne dites pas non, on sait que ce n’est pas vrai. Plutôt que de garder cette frustration, Anger Room vous propose de l’extérioriser. Comment ?

L’idée est assez simple : on vous offre une pièce où vous avez le droit de tout détruire : bureau, téléphone, télévision, radio hifi, tout. Vous avez même le choix de l’arme : batte de baseball, club de golf, etc.

Pour jouer à l’ange exterminateur, cela vous coûtera cependant 25 dollars les cinq minutes. « Oui, mais qu’est-ce que ça fait du bien », dit un client visiblement satisfait. On veut bien le croire.

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