Faut-il être dur dans les affaires pour réussir ?

Faut-il être dur dans les affaires pour réussir ?

Publié le 24 novembre 2014

On représente souvent les hommes d’affaires comme des personnes dures, intransigeantes et pleines de pouvoir. Mais est-ce véritablement de cette façon que l’on réussit dans les affaires ?
Pour répondre à cette question, nous recevons Évelyne Platnic-Cohen, fondatrice et dirigeante de Booster Academy.

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Des réussites fulgurantes

Notre experte conseille d’abord à tous les dirigeants, managers et commerciaux de lire l’ouvrage « Le point de bascule » de Malcolm Gladwell. Dans cet ouvrage, l’auteur américain explique et présente des cas d’hommes qui ont réussi de façons fulgurantes. « Il décortique leur personnalité et démontre que, si ces personnes ont réussi, c’est qu’elles avaient une capacité de contact avec les autres ». Ainsi, les personnes qui ont envie de rendre service, qui ont de l’empathie et qui s’intéressent aux autres ont plus de chances de réussir en affaires.

Celui qui réussit et celui qui ne réussit pas

D’après Évelyne Platnic-Cohen, l’une des différences entre la personne qui réussit et celle qui ne réussit pas, est l’objectif. Un commercial qui ne définit pas clairement son objectif a moins de chance de réussir que celui qui sait exactement ce qu’il veut. Ensuite, il y a également « la capacité à surmonter ses limites » ou encore, « la capacité à cultiver sa résilience, c’est-à-dire à oublier et dépasser les coups durs ». Finalement, la vraie différence entre les uns et les autres pour Évelyne Platnic-Cohen, c’est le fait de savoir s’intéresser aux autres : « c’est une très grande qualité des hommes d’affaires qui réussissent ».

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