Goodbye Car facilite les adieux avec votre voiture

Goodbye Car facilite les adieux avec votre voiture

Publié le 15 juin 2015

Marre de votre vieille deudeuche qui dort depuis des lustres au fin fond de votre garage ? Goodbye Car vous en débarrasse en quelques clics et l’envoie à la casse contre un peu de caillasse.

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Saviez-vous que plus d’1 million de voitures sont abandonnées dans des parkings, des sous-sols, des jardins ou même dans des champs ? Des euros qui passent à la trappe…

Un service gratuit qui vous rapporte de l’argent

Une voiture abandonnée au 4 000ème sous-sol d’un parking, une autre laissée pour compte au fond d’un jardin, sans parler du reste qui végète dans le garage. On sous-estime le nombre de voitures abandonnées. Goodbye Car ouvre les portes d’un marché méconnu, celui des véhicules hors d’usage (VHU).
Loin d’être une partie de plaisir, se débarrasser de sa titine pleine de bons souvenirs peut paraître comme une véritable corvée. Goodbye Car vous simplifie la tâche. Sans avoir à débourser un seul centime, le particulier n’a plus besoin de se déplacer. Le démolisseur vient directement chez lui. Seule une carte grise est exigée pour éviter le trafic. Les petits malins qui veulent jouer un mauvais tour à leur voisin, c’est loupé !

Un double objectif

Avec 180 casses à son actif, Goodbye Car réinvente le monde de la casse. Basé sur le même fonctionnement qu’Allô Resto, les casses membres du réseau Goodbye Car paient pour être référencées sur le site. En échange, la start-up met en relation le particulier et le démolisseur via sa plateforme dédiée.
Autre atout pour les casses, elles bénéficient de la notoriété de Goodbye Car. Cette visibilité s’avère être un avantage concurrentiel non négligeable. Elles peuvent ainsi lutter contre la « filière sauvage », c’est-à-dire les casses non agréées. En faisant appel à Goodbye Car, les clients évitent de s’exposer à une amende 75 000 euros et à une peine de 2 ans de prison.

Le succès est au rendez-vous

Seul pour le moment sur ce marché naissant, Goodbye Car réalise un démarrage très intéressant. Après une première année d’activité, la PME génère un flux de 400 000 personnes sur son site. 9 750 ont adhéré au dispositif et font appel à Goodbye Car pour se débarrasser de leur voiture.
Un modèle économique que Loïc Bey-Rozet, fondateur de Goodbye Car, souhaite déjà dupliquer à l’international. C’est sur un ton fier et assuré qu’il nous confie que plusieurs pays sont intéressés. D’ailleurs, des bruits de couloirs laissent entendre que les casses belges et italiennes sont déjà sur le coup. Ce qui est certain, c’est que l’on n’a pas fini d’entendre parler de Goodbye Car.

Chloé Canovas

1 commentaire

Bravo pour ce très bel article !

Par Nawal, le 30 mars 2019

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