Les cinq leçons business de Notorious B.I.G

Les cinq leçons business de Notorious B.I.G

Publié le 26 mai 2015

Notorious B.I.G était un rappeur de génie. Mais, il avait sa petite idée sur la manière de gérer son business. Voici ses cinq règles.

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Un pic, un cap, voire même une péninsule. Dans le monde du rap, Notorious B.I.G reste une légende de la côte Est des États-Unis. 18 ans après sa mort, Biggie Smalls continue d’ailleurs de faire vendre. Au total, plus de 60 millions d’albums ont été écoulés sur son nom. Un business qui n’est pas près de s’essouffler. Une version alternative de « Me and My Bitch » est sortie à l’occasion de ce qui aurait été le 43e anniversaire du rappeur.

Un talent artistique couplé d’un sens certain des affaires. La preuve avec son morceau « Ten Crack Commandments » qu’il a qualifié à l’époque de « manuel » pour se faire connaître.. Certes, l’ex-acolyte de Puff Daddy (Sean Combs, etc.) s’est beaucoup inspiré du monde de la drogue. Il n’empêche que ces règles s’adaptent aussi au monde des entrepreneurs dits « classiques ».

« Ne les laissez jamais connaître votre prochain geste »

Pour rester dans les premiers, il faut savoir garder pour soi ses projets. Surtout si vos concurrents n’attendent qu’un indice pour aspirer votre créativité. A partir d’une certaine taille, il faut faire attention à ce que l’on dit.

« Ne jamais vendre où vous vous reposez »

La vie ne se résume pas à son bureau. D’ailleurs, si vous travaillez de chez vous, vous vous débrouillez toujours pour recevoir vos clients à l’extérieur. Pour Notorious B.I.G, il est impensable de ne pas diviser sa vie. L’équilibre entre vie professionnelle et vie privée n’est pas une vue de l’esprit.

« Ne jamais faire savoir la somme qui est inscrite sur votre compte bancaire »

Même si l’entrepreneur est fier de sa réussite, il n’a aucun avantage à l’afficher. L’argent n’est pas un mal en soi, mais la jalousie pointe vite le bout de son nez. Restez celui que vous étiez à vos débuts : humble et soucieux d’apprendre des autres.

« Ne jamais avoir une confiance aveugle en quelqu’un »

La famille est une chose, le business en est une autre. On ne compte plus le nombre de beaux parents, frères, sœurs, cousins, qui ont profité de ce lien de sang pour rabaisser ceux qui travaillent à la renommée de la famille.

Encore une fois, la jalousie est probablement le sentiment le mieux partagé dans le genre humain.

« Ce putain de crédit ? Oublie-le ! »

Un deal ne se fixe pas sur un « accord de principe ». Si un client veut acheter un produit ou votre service, il faut qu’il puisse payer tout dans la foulée. Si ce n’est pas le cas, il vaut mieux s’en aller. Il n’y a rien de plus frustrant que la relance d’un client. Et puis, ça tue à petit feu votre affaire.

Non, vraiment, si un doute subsiste : abstenez-vous.

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