Les trois choses que vous ne saviez pas sur Mark Zuckerberg

Les trois choses que vous ne saviez pas sur Mark Zuckerberg

Publié le 12 novembre 2014

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Mark Zuckerberg s’est plié pour la première fois au jeu des questions ouvertes. Ce qui a permis d’en savoir un peu plus sur l’un des entrepreneurs les plus puissants au monde.
L’inventeur de Facebook est définitivement un entrepreneur hors du commun. Lors d’une session de question libre au public, Mark Zuckerberg a parlé de tout ou presque : ses projets, le déclin de la recherche organique et l’impact du film « The Social network » sur sa vie d’homme. Voici les cinq choses qu’il faut retenir :

En dehors de Facebook, il veut prendre le moins de décisions possible

Pourquoi Mark Zuckerberg porte-t-il le même tee-shirt ? Parce que la mode ne l’intéresse pas. La chemise, la cravate, le baggy, qu’importe à ses yeux. Lui veut gagner du temps sur son objectif principal : développer Facebook.
« Je sens que je ne fais pas mon travail si je consacre mon énergie à des choses stupides ou frivoles », explique-t-il.

Il n’est pas un amateur de cocktail

La sortie et le succès du film « The Social Network » ont charrié leurs lot de fantasmes sur le plus jeune milliardaire du monde. Un film qu’il a d’ailleurs trouvé « blessant ».
« Ils ont juste inventé tout un tas de trucs que j’ai trouvés blessants. La réalité, c’est qu’écrire des codes et construire un produit n’est pas assez glamour pour en faire un film. Il a donc fallu embellir et maquiller un bon nombre d’éléments».
Par exemple, Mark Zuckerberg n’a jamais été un amateur de cocktails fruités. Qui plus est, il n’a jamais créé Facebook pour attirer les filles. Il rappelle d’ailleurs qu’il était déjà avec sa femme, Priscillia Chan, au moment de la création de la société.

Non, il n’est pas quelqu’un de cool

« Mon but n’a jamais été de faire de Facebook une marque cool. Je ne suis pas une personne cool. D’ailleurs, je n’ai jamais essayé de l’être », insiste Zuckerberg, tout en gardant le sourire.
Lui a toujours voulu créer quelque chose « d’utile ». Une utilité qui évolue d’ailleurs au fil du temps. Au départ, Zuckerberg rappelle que les utilisateurs utilisaient en grande majorité du texte. L’image a mis cinq années avant de s’imposer, avant que la vidéo ne soit démocratisée.
Si l’entrepreneur n’est pas quelqu’un de cool, il sait ce qui est utile pour les gens qui passent par ses services.

 Tancrède Blondé

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