Le Trèfle lance un espace de coworking dédié aux startups

Le Trèfle lance un espace de coworking dédié aux startups

Le Groupe Le Trèfle va ouvrir en février 2016 un troisième espace de coworking en région parisienne à Boulogne. Les locaux de 1 300 m² sont orienté vers des startups à croissance rapide.

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Le Trèfle Marcel Sembat est le plus grand espace de coworking des Hauts-de-Seine. Il propose ses services aux Gazelles, ces startups à croissance rapide. Les entrepreneurs ont accès à un parcours résidentiel et d’un accompagnement adapté. Il est possible de louer plus de 1 300 m² d’espaces et plus de 180 bureaux en rez-de-jardin.

Le site ouvrira ses portes le 1er février 2016. Le fondateur du groupe Le Trèfle, Bertrand Rosé explique sa décision : « La croissance rapide des Gazelles s’avère parfois être un véritable casse-tête. Parmi les premières bêtes noires de ces entrepreneurs, les déménagements successifs. »

D’autres avantages sont aussi proposés comme une voiture électrique à disposition, une cafétéria. Des accords avec des commerçants locaux ont également été signés. Autre cadeau atypique, les entrepreneurs vont pouvoir bénéficier d’un service de comité d’entreprise. Le prix de l’hébergement démarre à 350 euros par personne et par mois pour la formule standard.

Offrir un environnement productif

Avec le développement de sa société Conseil CE, Bertrand Rosé sait gérer la taille des locaux en fonction de l’évolution de ses effectifs. Il fonde le groupe Le Trèfle en juin 2014. Aujourd’hui, le groupe dispose de quatre espaces de coworking. Trois d’entre eux se situent en région parisienne, le dernier est implanté à Lyon.

Le chef d’entreprise veut insérer de la convivialité de les espaces de travail pour le développement des TPE et des PME. Il souhaite réconcilier le centre d’affaires impersonnel et le coworking en open space. Bretrand Rosé compte installer ses propres salariés dans son futur centre de Boulogne. « L’un des intérêts du coworking, c’est l’esprit entrepreneurial qui est constamment présent. Il y a une émulation forte, » assure le chef d’entreprise.

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