Webengineering clôture sa 2e levée de fonds pour asseoir sa place de leader

Webengineering clôture sa 2e levée de fonds pour asseoir sa place de leader

Publié le 17 mars 2016

En moins de trois ans, Webengineering est devenu le leader français du recrutement dans l’ingénierie. Sa nouvelle levée de fonds va lui permettre de poser un 1er pied à l’international.

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Tout va très vite pour Webengineering. Le site d’emploi & de prestations dédié à l’ingénierie vient de réaliser une deuxième levée de fonds pour mettre en œuvre une stratégie commerciale et marketing de long terme et assurer son développement à l’international. « Nous avons clôturé une première tranche de 210k€ fin décembre et laissé une seconde tranche ouverte jusqu’au 31 mars 2016 », explique Alexandre Roy, fondateur et président de Webengineering.

La startup a préféré réaliser cette levée de fonds en deux fois, « afin de bien maîtriser notre levée de fonds et son dimensionnement », toujours selon l’entrepreneur. Elle a déjà permis à Webengineering de multiplier son audience et son volume d’inscrits par 1,7. Elle assoit encore plus sa place de numéro 1 français des sites d’emploi spécialisés en ingénierie. Aujourd’hui, plus de 1 600 nouveaux ingénieurs s’inscrivent chaque mois.

« Ca coûte très cher, un ingénieur qui n’est pas placé en entreprise »

Maintenant, Webengineering veut se développer à l’international. « On compte lancer une première plateforme en Belgique, puis au Royaume-Uni et en Espagne, d’ici le mois de mai 2016 », ajoute Alexandre Roy. La startup veut également recruter des commerciaux, « des conseillers en ingénierie et des ingénieurs d’affaires qui ont entre 2 et 4 années d’expérience », précise-t-il.

La startup compte plus de 500 recruteurs, parmi lesquels Airbus, Engie ou Akka Technologies. Ils ont accès à une cvthèque d’environ 15 000 profils. « Mon constat de départ, c’est qu’il existe très peu d’outils pour faire connaître ses consultants en ingénierie.  Et ça coûte très cher, un ingénieur qui n’est pas placé en entreprise », rappelle l’entrepreneur. La place de marché centralise toutes les demandes.

Quand on pense que Webengineering est devenu N°1 français en quelques mois, on se dit que l’entreprise devrait bien marcher en Europe.

Et sinon, si vous avez raté la vidéo du startupper, c’est par ici :

@TancredeBlonde

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