5 séries télé faites pour les entrepreneurs

5 séries télé faites pour les entrepreneurs

Entre la journée de ski et les séances de luges nocturnes, rien n’empêche l’entrepreneur de se prélasser devant une série télé. À la condition, bien entendue, qu’elle évoque, d’une manière ou d’une autre, l’univers des dirigeants. Widoobiz fait pour vous un premier tri pour vous.

Vous aimerez aussi

The office

Probablement la série la plus drôle qui ait pu exister à ce jour sur l’univers – pas toujours reluisant il faut bien le dire –  de l’entreprise. Et comme toujours, dans les bonnes séries, ça démarre avec un synopsis de départ simple : pour la réalisation d’un documentaire, une équipe de tournage vient filmer la vie des employés au sein de l’entreprise Dunder Mifflin, spécialisée dans la vente de papier.

Bien entendu, personne ne joue le jeu hormis Michael Scott, personnage incarné par Steve Carell, responsable régional pathétique et incompétent qui se croit le plus drôle du monde. Plus succulent encore, les têtes à têtes avec la caméra où tout le monde explique son ressenti.

Malheureusement, comme toutes bonnes séries, les producteurs n’ont pas su s’arrêter à temps. Résultat, après cinq magnifiques saisons, le sujet s’épuise avant de se dessécher lors de la disparition du personnage de Steve Carell. Vous regarderiez encore « How I met your mother » si Barney n’existait plus ?

Mad Men

Bien loin de nous l’idée de vous faire découvrir la série, dont la renommée a déjà parcouru plusieurs fois le tour de la terre. Il n’empêche, on se demande comment le média dédié aux entrepreneurs pourrait faire l’économie d’une telle série dans cet article.

Pour les autres, peu aux faits de l’actualité des séries et de la culture populaire en général, Mad Men retrace la vie de Don Draper, grand manitou de la publicité, au charisme foudroyant et au passé (forcément) sulfureux.

En plus des coups fourrés, des histoires d’amour et de haine au sein de cette agence de publicité, vous retrouverez l’univers de New York des années 60 rythmé aux soubresauts de l’actualité américaine (Eisenhower, Kennedy, etc…). Forcément délicieux.

How to make it in America

Filmé caméra à l’épaule, cette série raconte l’histoire de deux jeunes entrepreneurs New-Yorkais, peu au faîte des enseignements prodigués par la classique Harvard Business School.

Entre petites magouilles, bluff minable, problèmes d’argent récurrents et débrouille, « How to make it in America » rappelle aux jeunes entrepreneurs du monde qu’ils ne sont pas seuls à galérer. Quant aux autres « survivants des cinq ans », ils replongeront avec délice dans cet univers fiévreux, dynamique et entrepreneurial.

Une série à conseiller à tous les aspirants-entrepreneurs.

The Good Wife

Non pas que l’on rencontre toujours ce genre de situation dans la vie d’entrepreneur (en tout cas on ne vous le souhaite pas), mais The Good Wife a le mérite de vous fournir deux trois conseils de ténacité, au cas où le ciel venait à vous tomber sur la tête.

Avec, encore et toujours, un synopsis simple, mais diablement efficace. Après que son mari ait été jeté en prison, suite à un scandale de corruption et mœurs, l’épouse d’un homme politique décide de reprendre sa carrière d’avocate.

Très vite, elle va comprendre que le retour à la vie professionnelle va se révéler autrement plus compliqué. À la différence près que, cette fois-ci, l’avocate est prête à briser son image d’épouse effacée et sans saveur pour reprendre sa vie en main.

BOSS

Ou, comment trouver la force d’arrêter avant que cela n’empire davantage. Emporté dans l’arrière-boutique politique de Chicago, le spectateur va rentrer dans le monde de Tom Kane, maire tout puissant de la ville et atteint… d’une maladie dégénérative. Etat de santé dont il ne veut en aucune manière prendre en compte.

Lancé en 2011, ce petit bijou télévisuel n’a malheureusement pas trouvé son public après deux années de diffusion. Ce qui est bien dommage, tant la performance de l’acteur Kelsey Grammer est à couper le souffle. Peut-être un air de trop « déjà-vu » (prononcez avec l’accent américain).

0 commentaires

Laisser un commentaire