Ces patrons piégés par la presse people

Ces patrons piégés par la presse people

Publié le 10 janvier 2014

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Si François Hollande est le premier Président de la République à se faire piéger par la presse people, d’autres patrons sont passés par cette épreuve.
François Hollande ne démarre pas l’année de la meilleure des façons. Le magazine Closer révèle que le Président de la République aurait une relation amoureuse avec la comédienne Julie Gayet. Vrai ou Faux, la question n’est plus là. Il lui faut désormais attendre que la tornade médiatique s’éteigne d’elle-même.
Le patron de l’entreprise « France » a beau déplorer « profondément les atteintes au respect de la vie privée auquel [il a] droit comme tout citoyen », il n’est pas le premier à se faire piéger par la presse tabloïd. D’autres dirigeants ont été « pris la main dans le sac ».

flowers_2736886bPaul Flowers, le Banquier-pasteur dopé au crack

Ancien pasteur de l’église méthodiste, Paul Flowers s’est fait filmé et photographié par le tabloïd Mail on Sunday en train de s’acheter des boulettes de crack. Ce qui, avouons-le, fait un peu désordre pour un homme d’église.
Pour expliquer sa « sortie de route », il évoque l’exaspération et la fatigue provoqué par l’écroulement de la Co-operative Bank, dont il avait la charge. De là à prendre du crack…

max mosleyMax Mosley, client de prostituées et adepte sado-maso

L’ancien grand patron de la Federation International Automobile (FIA) a été vu dans des photographies publiées par News of the World en train de s’adonner à des jeux sado-masochistes avec cinq prostituées.
C’est sa vie, direz-vous. Problème, le tabloïd anglais explique que le scénario consiste en un interrogatoire dans un camp de concentration nazi. Constat d’autant plus plausible que son père, Oswald Mosley, est le fondateur de la British Union of Fascists, mouvement pro-nazi. A l’époque, son père avait même épousé Diana Mitford en présence de Goebbels et d’Hitler lui-même.
Oui, sauf que les tribunaux Britanniques ont jugé qu’aucun élément ne prouve le caractère nazi du jeu érotique. C’est au moins ça de pris.
Bref, que les entrepreneurs médiatiques fassent attention. Il n’est pas impossible que la presse à scandales s’intéresse un jour à leur vie privée.

 Tancrède Blondé

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