Bertile Burel : un jukebox onirique pour une réalisatrice de rêves

Bertile Burel : un jukebox onirique pour une réalisatrice de rêves

Dans cette édition du Jukebox de ma vie, Stéphane Vincent reçoit Bertile Burel, cofondatrice de Wonderbox, réalisateur de rêves spécialiste des coffrets cadeaux. Entre voyages et bonne humeur, nous retrouvons le parcours trépidant de notre invitée en musique.

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Wonderbox est une entreprise qui propose depuis 2004 des coffrets cadeaux. Loin des cadeaux matérialistes, il s’agit ici d’offrir des « cadeaux d’expériences » sous forme de coffrets thématiques prépayés de 25 à 500 €. Du massage à la chute libre, vous avez donc le choix à la carte entre 22 000 rêves « très doux ou extrêmes ». À la réalisation, ce sont plus de 250 collaborateurs dans 5 pays. Un pari des plus réussis puisqu’aujourd’hui Wonderbox est le leader de son marché avec un chiffre d’affaires de 150 millions d’euros.

Une boîte qui naît d’un voyage de noces de 6 mois au cours duquel les deux fondateurs vivent une expérience hors du commun. À leur retour émerge un désir d’offrir aux autres la possibilité de partager ces expériences formidables au lieu de cadeaux matériels. Nait dès lors Wonderbox. Dix ans plus tard, ils sont toujours là et ne comptent pas s’arrêter là puisque l’ambition est de grandir en ligne et à l’international.

Le virus du voyage

Dans cette émission notre invitée revient sur son enfance vécue aux quatre coins du monde (Maroc, États-Unis, Allemagne, Belgique) avec une musique d’ouverture, exotique qui vous transporte dans le désert à travers les dunes. Elle évoque son goût pour les voyages, virus hérité de sa famille, une enfance loin de la France, bercée par les séjours et une chanson douce d’Henri Salvador.

Dans une famille de mélomanes, passionnée de musique classique, notre invitée découvre la Pop lors de son séjour aux États-Unis à travers les débuts de la chaîne musicale MTV. Dans ce pays où la télévision est omniprésente, notre invitée qui, à l’époque, se voyait pédiatre et présidente de la République faisait ses devoirs devant cette chaîne avant-gardiste. De cette expérience américaine lui vient un optimisme sans faille. Une quête du bonheur qu’elle vit au quotidien et qu’elle construit avec ses collaborateurs. Une joie qui vient avec le travail.

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