Les secrets du chef d’orchestre d’Hopscotch Group

Les secrets du chef d’orchestre d’Hopscotch Group

Pour cette rentrée du Jukebox de ma vie, Stéphane Vincent reçoit une pointure des relations publiques et de la communication. Frédéric Bedin, Président du directoire du groupe Hopscotch, partage aujourd’hui avec nous et en musique, des épisodes et anecdotes de sa vie bien remplie.

Vous aimerez aussi

Le groupe Hopscotch est le leader français des relations publiques qui aide les marques, les entreprises et les institutions à communiquer de façon innovante. Il regroupe 550 collaborateurs à plein temps en France et compte également un Hub à Dublin, un Hub à Casablanca et des petites ambassades à Montréal, Sao Paulo et Hong Kong. Clairement, on peut dire qu’aujourd’hui, le soleil ne se couche jamais sur l’empire Hopscotch.

L’amitié à la base de tout

Pour en découvrir plus sur l’homme qui se cache derrière ce succès, Frédéric Bedin choisit le titre « Le plat pays » de Jacques Brel pour illustrer d’où il vient. Plus jeune, il voulait devenir commercial « comme papa » et ne s’est pas trompé puisque aujourd’hui, il « aime vendre son métier et aider les autres à vendre ». D’ailleurs, ce sont ses études à Dauphine qui l’ont le plus inspiré et donné envie de monter en compagnie de 3 amis, sa première entreprise, l’agence d’événementiel Délires. Il associe d’ailleurs le titre « La vie en rose » interprété par Grace Jones, à cette première entreprise, en souvenir de la première musique jouée chaque soir dans le lieu qu’il fréquentait avec l’un de ses associés et amis, Benoit Désveaux. Chaque soir, cette chanson sonnait le début de la soirée dansante. C’est ainsi qu’ils ont décidé, sur un coin de table, de mettre en pratique ce qu’ils apprenaient simultanément à l’école, en créant leur entreprise.

Un rôle social d’entrepreneur

Même si la problématique de l’international est arrivée assez tôt dans cette première entreprise grâce à des gros clients mondiaux, Frédéric Bedin est toujours resté attaché à ses racines. L’étranger peut en effet être bénéfique pour entreprendre, pour la fiscalité et bien d’autres choses, mais selon lui, « un entrepreneur a aussi une responsabilité sociale vis-à-vis de son pays ». C’est pour passer ce message aux entrepreneurs délocalisés qu’il choisit le morceau « Je reviendrai mourir en France » de son artiste préféré, Serge Lama.

Les rituels positifs en entreprise

« Une entreprise, ce n’est pas la somme des talents de chacun, c’est mettre en résonance les talents de tout le monde pour avoir un résultat supérieur à la somme des parties.  Et ça c’est mon boulot. » En tant que manager d’un grand groupe, ce véritable chef d’orchestre souligne l’importance du travail en équipe et surtout, la positivité qu’il faut sans cesse communiquer à ses collaborateurs.

Pour lui, il est essentiel de créer des moments agréables et des « rituels » en entreprise. Il conseille d’ailleurs à ses clients « il n’y a rien de plus mobilisateur et de plus positif que la fête ». Chez Hopscotch, celui qui gagne un nouveau contrat et qui veut partager sa joie, va sonner une énorme cloche située dans la cour de l’immeuble. Cette joie est inévitablement partagée dans toute l’entreprise, un potentiel émotionnel qu’il tient à souligner à chacun avec le titre « Sur la place » de Jacques Brel. Il conseille d’ailleurs à ses clients « il n’y a rien de plus mobilisateur et de plus positif que la fête ».

Dans 5 ans, Frédéric Bedin espère que le groupe Hopscotch aura rempli encore mieux son rôle social en aidant les organisations « à assumer leur mission d’animation de la société » et en devenant « des accélérateurs du bien vivre ensemble ». Pour finir, il fait un clin d’œil à ses copines de fac avec cette chanson gaie qu’il leur dédiaient souvent, « Petite fille de Français moyen », de Sheila.

0 commentaires

Laisser un commentaire