Adrien Prieur, franchisé Doc’Biker à 25 ans

Adrien Prieur, franchisé Doc’Biker à 25 ans

Publié le 12 septembre 2014

Passionné de deux roues depuis l’enfance, Adrien Prieur entame son 5ème mois en tant que franchisé Doc’Biker à Paris (75). S’il vit ce nouveau statut avec enthousiasme, être à son compte génère une charge de travail à laquelle le jeune n’était pas forcément préparé.
docbikerAvec un bac pro mécanique moto, Adrien Prieur, 25 ans, travaille d’abord 6 mois comme mécanicien avant d’occuper pendant 1 an le poste de vendeur de véhicules neufs et d’occasion chez Peugeot. Il rejoint ensuite les effectifs de Doc’Biker comme salarié, puis comme responsable de magasin.
Cette passion des deux roues, le mécanicien dit l’entretenir depuis l’enfance : « Tout petit déjà, je me retournais sur les grosses motos. J’ai ensuite été initié par mon grand frère qui en possédait une. Mais le disciple a rapidement dépassé le maitre », raconte-t-il.
Féru de mécanique, l’adolescent n’envisage pas tout de suite d’en faire son métier. Il s’imagine plutôt pilote d’avion ou encore médecin, comme ses grands-parents. Pourtant, lorsqu’il pousse la porte de Doc’Biker, réseau spécialisé dans l’entretien de motos et de scooters, c’est pour ne plus le quitter : « J’ai beaucoup apprécié mon expérience de salarié chez eux, raconte Adrien. On fait chaque jour des choses différentes et aucune journée ne se ressemble. » Et le concept fonctionne bien. L’unité qui emploie le jeune homme ne désemplit pas. « Le chiffre d’affaires était en hausse dans presque tous les magasins du réseau », se souvient-il. Et d’ajouter : « Les clients trouvaient le concept de réparation rapide sans rendez-vous génial. »
Cependant, depuis l’âge de 21 ans, Adrien a une envie : être son propre patron. S’il reste donc trois ans auprès de l’enseigne, c’est avec le projet de constituer un dossier solide : « Je craignais de ne pas être pris au sérieux par les banques et de manquer d’expérience si je me lançais trop vite. J’ai donc préféré attendre. »

Le choix de la franchise

Avant d’opter pour la franchise, Adrien pèse longuement le pour et le contre auprès de clients et de proches. « Cela m’a permis de me rendre compte qu’il y avait plus de pour que de contre », explique-t-il. En effet, si l’entrepreneur est quelque peu freiné par le poids des redevances et l’appropriation d’un concept dont l’invention ne lui revient pas, il ne peut s’empêcher de considérer les nombreux avantages que contient ce mode d’entrepreneuriat.« Il y a bien plus d’avantages que d’inconvénients, poursuit le franchisé. Le site Internet, par exemple, qui est déjà monté, la notoriété du concept, déjà installée, ou encore la négociation avec les fournisseurs, effectuée en amont par le réseau. »
Autre avantage selon Adrien…
Cliquez ici pour lire la suite sur les Échos de la franchise. 

Sarah Kanga

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