Devenir chef d’entreprise, c’est être son propre patron. C’est aussi se retrouver en première ligne et faire face à de nombreux challenges. Une tâche qui peut s’avérer encore plus délicate lorsque l’on a 25 ou 26 ans. Témoignage d’Anne-Laure et Etienne, franchisés La Mie Câline depuis 2011.
Plus qu’un projet une rencontre
Après une formation de comptable, c’est par l’intermédiaire de sa tante, alors directrice d’un cabinet comptable référencé par l’enseigne, qu’Etienne Bouron, 25 ans, découvre La Mie Câline. Intéressé par l’univers de laboulangerie traditionnelle, il devient assistant manager dans une unité du réseau à Challans (85), en 2007. Un an plus tard, c’est au tour d’Anne-Laure Alzieu, 26 ans, titulaire d’un bac SMS (science médico-sociale), de rejoindre l’unité au poste de vendeuse. La jeune femme voulait devenir éducatrice spécialisée mais n’a pas réussi les concours. Pour les deux jeunes salariés, c’est une rencontre. Le couple nouvellement formé décide de se lancer dans la franchise au sein du réseau. « C’était initialement le projet d’Etienne », raconte Anne-Laure. « Mais étant donné que le poste de vendeuse que j’occupais n’offrait aucune possibilité d’évolution, j’ai accepté de me lancer dans l’aventure avec lui. »Pour eux, La Mie Câline sonne comme une évidence : « Grâce à la notoriété de l’enseigne, nous avons tout de suite été crédibles auprès des banques », rapporte Etienne Bouron qui ajoute : « Notre apport personnel était un peu juste. C’est le sérieux de l’enseigne qui a poussé la banque à nous soutenir. »
La franchise s’adapte par ailleurs parfaitement au projet des deux entrepreneurs…
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Sarah Kanga