Franchisé dans un secteur saisonnier : une activité à part

Franchisé dans un secteur saisonnier : une activité à part

Publié le 17 juillet 2015

Avec l’arrivée des vacances d’été, certains franchisés vont connaître leur pic d’activité. Glaciers ou piscinistes, ces métiers sont très marqués par la saisonnalité des produits. Un rythme de travail particulier qu’il faut appréhender avant de se lancer.

Vous aimerez aussi

La météo : imprévisible mais fondamentale

A Noël, les enseignes de jouets réalisent une grande partie de leur chiffre d’affaires annuel. Même chose pour les chocolatiers qui, entre Pâques, la Saint-Valentin et les fêtes, sont dans le feu de l’action. Mais pour d’autres, c’est l’été que tout se joue. Pendant que certains profitent du soleil pour se ressourcer, eux sont en plein rush. C’est le cas notamment des glaciers ou encore des piscinistes. Les membres de ces réseaux peuvent compter sur la qualité de leur produit ou la renommée de leur enseigne pour attirer le client et assurer un certain nombre de ventes. Cependant, d’autres aspects de leur réussite sont indépendants de toute bonne volonté. C’est aussi cela la saisonnalité. « La météo est fondamentale pour mon activité », explique d’ailleurs Philippe Terrière,franchisé Amorino à Cassis, dans les Bouches-du-Rhône. Et de poursuivre : « S’il fait moche, les touristes ne viennent pas. Tout simplement. » Et dans ce cas-là, les résultats sur son activité sont immédiats.

50 % du chiffre d’affaires annuel en deux mois

Car pour lui, comme pour beaucoup de franchisés spécialisés dans les glaces, la donne est simple : il réalise 50 % de son chiffre d’affaires annuel en juillet et en août. Sur cette période, il maintient toujours une activité élevée. Ouvert de Pâques à la Toussaint, c’est donc hors saison que tout se joue pour lui. « C’est là que la météo est primordiale. En juillet-août, les vacanciers sont là quoi qu’il arrive et la météo est souvent clémente. Les autres mois, en revanche, ce peut être tout ou rien », précise Philippe Terrière…
Cliquez ici pour lire la suite de l’article sur les Echos de la Franchise. 
 

0 commentaires

Laisser un commentaire