Les 7 péchés capitaux de l’entrepreneur

Les 7 péchés capitaux de l’entrepreneur

Publié le 1 août 2014

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À l’heure des vacances, il est grand temps de voir ce qui ne va pas. Si un de vos défauts se retrouve dans cette liste, il est grand temps de travailler dessus avant la rentrée.
Il y a des to-do lists, mais il existe aussi les « not to-do list ». Un outil qui pourrait se révéler bien plus utile pour les entrepreneurs. En effet, si les préceptes étaient suivis à la lettre, beaucoup d’entreprises réussiraient à éviter le redressement ou la liquidation judiciaire. Voici une liste qui ne demande qu’à être complétée.

1 Se plaindre

Il n’existe pas d’entrepreneurs qui n’aient pas connus d’échec(s). Tout le monde a ses cicatrices, plus ou moins profondes. De là à se répandre en plaintes larmoyantes : « ah, tout le monde se ligue contre moi. Pourquoi donc dois-je subir cette haine ? ».
Les vrais entrepreneurs ont ce point commun de toujours trouver une solution dans l’adversité. C’est d’ailleurs à cela qu’on les reconnaît.

 2 Être toujours négatif

À force d’endurer les épreuves de la vie de créateur d’entreprise, certains entrepreneurs sont devenus très négatifs. Attention à ce que cette période ne dure pas trop longtemps.
La négativité est le cancer de l’entrepreneur. Elle freine la créativité, tue la volonté d’exister, annihile tout esprit d’équipe.

3 Attendre que les solutions viennent d’autrui

Tout le monde préfère que la solution s’impose d’elle-même. Problème, le monde est parfois bien plus capricieux. D’autant plus que la gestion d’une société fait vivre plusieurs familles.
Un entrepreneur ne peut compter que sur sa force et celle de ses équipes. Que les aspirants entrepreneurs se le disent : personne n’attend un créateur d’entreprise. C’est à lui de prouver que le monde a besoin de lui.

4 Procrastiner

Pourquoi remettre à demain ce qui vous permettra d’être meilleur demain ? Bien que toutes les tâches ne se valent pas, l’entrepreneur ne peut indéfiniment mettre de côté ce qui l’ennuie. Administratif, commercial, événements, il faut y passer.

5 Croire que c’est gagné

Même si les millions d’euros s’accumulent en fin d’exercice, rien n’est jamais terminé dans la vie d’entreprise. Combien de structures se sont effondrées, malgré des départs tonitruants. Même une entreprise de la taille de Lehman Brothers a pu disparaître du jour au lendemain.
C’est dire si la vie d’une entreprise est fluctuante.

6 Ajouter du stress au stress

À vouloir être le patron omniscient, sur qui tout le monde compte, l’entrepreneur se dirige immanquablement vers le burn-out. C’est écrit, programmé, annoncé.
Or avec les 5 réunions quotidiennes, les 7 déjeuners d’affaires hebdomadaires et les 248 000 mails mensuels, un dirigeant ne peut travailler avec un esprit apaisé.

7 Se croire indispensable

Bien que le titre de « patron » soit inscrit sur la porte de votre bureau, cela ne signifie pas pour autant que vous êtes devenu la personne la plus intelligente de la ville. En clair, la bonne réponse ne dépend pas de la fonction de qui la prononce.
Trop de patrons s’imaginent en prophètes avant d’être des chefs d’équipe.
 

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