Kodakisation, Ubérisation : pas d’abri anti-numérique

Kodakisation, Ubérisation : pas d’abri anti-numérique

Dans cette nouvelle chronique, Manuel Diaz, président France de l’agence Emakina, apporte son regard d’expert sur la révolution digitale.

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Dans cette chronique, Manuel Diaz, auteur de Tous digitalisés, affirme qu’aucune industrie ne peut s’extraire de la révolution digitale. « Si on avait demandé aux chauffeurs de taxis il y a 3 ou 4 ans, s’ils allaient être concernés par le numérique, je ne suis pas sûr qu’ils auraient dit oui », raconte le président France de l’agence Emakina.

 Les clics mesurent la distance

Si les médias s’emparent du phénomène d’« ubérisation », Manuel Diaz lui, préfère le terme « kodakisation ». En effet, Kodak n’a pas du tiré partie de la révolution numérique, jusqu’à s’éteindre. L’expert pointe une révolution comportementale, à laquelle les entreprises doivent s’adapter. Si la digitalisation semble partout, l’enjeu pour les entreprises est de s’en servir à bon escient.

Le digital leur offre de multiples outils qui facilitent la pénétration de nouveaux marchés, lointains géographiquement. « La distance géographique se mesure en clics, et non plus en kilomètres », constate le président France de l’agence Emakina. Cliquez, exportez.

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