Groupements fonciers viticoles : investir dans les vignes n'est pas vain

Groupements fonciers viticoles : investir dans les vignes n'est pas vain

Groupement Différence
En plus de ranger leur argent dans des placements sûrs, certains investisseurs savent lier l’utile à l’agréable. C’est le cas des investisseurs dans les vignes de grands crus. Pour comprendre comment cela fonctionne, nous recevons un expert du domaine viticole, Jean-Marie Lataste, expert-comptable et dirigeant de la société Sodarex à Bordeaux et membre du Groupement Différence.
La question des groupements fonciers viticoles est remise au goût du jour avec la loi pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt en discussion devant le Parlement. Concrètement, il s’agit de leur donner la possibilité de recourir plus massivement à des investisseurs particuliers. En contrepartie, ces investisseurs « peuvent recourir à leurs capitaux en profitant de l’effet grand cru », c’est-à-dire investir « tout en ayant le plaisir de recevoir des bouteilles de grands crus ».
De plus, ces investissements ont des « avantages fiscaux importants en matière de droits de donation et de succession de l’ISF, car les parts de groupement dans lesquelles les investisseurs misent sont assujetties uniquement sur 25 % de leur valeur, dans la limite d’un plafond légèrement supérieur à 100 000 € ». Jean-Marie Lataste nous parle également de l’intérêt patrimonial lié à ces groupements fonciers agricoles et aborde la question de la liquidité.
Pour en savoir plus, écoutez les explications et conseils de notre expert du Groupement Différence dans cette chronique.

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