G20 YES : l’écosystème entrepreneurial vecteur de dynamique économique

G20 YES : l’écosystème entrepreneurial vecteur de dynamique économique

Publié le 18 juillet 2011

Le G20 YES ou Young Entrepreneur Summit, se déroulera pour la première fois en France, du 31 octobre au 2 novembre 2011.  Pour sa 3ème édition, le sommet international du YES G20 rassemblera 400 entrepreneurs du monde entier  à Nice, en parallèle du G20 regroupant les chefs d’Etats.

La délégation française qui interviendra lors de ce sommet est composée de 60 entrepreneurs, dont 40% de femmes, et 60% venus de province. Ils sont auto-entrepreneurs, entrepreneurs, ou créateurs d’ETI, entreprises de taille intermédiaire, et présents à l’international, en provenance de l’industrie, des services, ou encore du commerce. En tout, ce sont 15 secteurs d’activité différents qui représenteront la France après une sélection effectuée auprès de 700 candidats.

« Au travers du G20 YES, une force entrepreneuriale se met en place depuis 2007 au niveau mondial, qui constitue le début d’un mouvement de fond de grande ampleur » déclare Grégoire Sentilhes, président du G20 YES, de NextStage et de l’association Les Journées de l’Entrepreneur qui organise le sommet.

Un but : promouvoir le rôle clé des entrepreneurs auprès des jeunes et des chefs d’Etats

L’objectif de cette réunion annuelle et internationale sera effectivement de finaliser les propositions pour aider les jeunes de demain à devenir « entrepreneurs de leur destin », propositions qui seront remises le 3 novembre au G20 que présidera Nicolas Sarkozy.

Pour les organisateurs, c’est l’occasion de montrer que l’usage universel du mot « entrepreneur » est vecteur de sens et d’actualité en France avec 4 Millions d’entrepreneurs, 560 000 créations d’entreprises et 1.8 Millions d’emplois créés durant les 15 dernières années.

Mais ce sommet, c’est aussi une façon de mettre en exergue « l’écosystème entrepreneurial », enjeu stratégique déterminant pour la croissance, la prospérité et la compétitivité d’une nation, qu’elle soit émergente ou pays développé, ainsi que le rappelle M Sentilhes : « L’audace des entrepreneurs, leur capacité à innover, à créer des emplois et à se développer à l’international, l’agilité des PME face aux enjeux de la mondialisation, notre capacité à les financer et à investir en eux : telles sont les clés pour dessiner les contours de l’économie du 21ème siècle que nous souhaitons ».

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