Philippe Bloch : l’animateur, investisseur, entrepreneur fait son Jukebox

Philippe Bloch : l’animateur, investisseur, entrepreneur fait son Jukebox

Aujourd’hui dans Le Jukebox de ma vie, Stéphane Vincent reçoit Philippe Bloch, patron fondateur de Ventana Group. Cet éternel « observateur des entreprises » partage avec nous son parcours à travers plusieurs musiques et nous explique comment il mène plusieurs vies avec cette entreprise.

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En effet, Philippe Bloch gère ses interventions publiques sur ses ouvrages, anime de nombreuses conventions, fait de la radio sur BFM Business, a écrit des chroniques dans le magazine « Entreprises », mais investit également dans des boites. En bref, c’est un peu un « entrepreneur par procuration ».

Une vie à l’international

Pour illustrer le début de son parcours et surtout la fin de ses études, il choisit « New York, New York » de Franck Sinatra. Puisqu’après être parti de sa ville d’enfance, Colmar en Alsace, il fait une prépa, puis HEC à Strasbourg et l’ESSEC pour enfin passé un an à l’ambassade de New York. Il choisit ensuite « Fais comme l’oiseau » de Michel Fugain pour rendre hommage à son esprit de « chef de bande un peu autoritaire qui emmène tout le monde, mais qui se marre souvent » ; Janet Jackson pour partager sa première expérience d’entrepreneur lorsqu’il a créé la chaîne de cafés « Colombus Café » en prenant exemple sur « Starbuck’s » ; « Le blues du businessman » de Starmania qui révèle son côté « homme de cirque et homme de scène, auteur de sa vie »; et « Me and Mrs Jones » comme titre qui le touche le plus.

« Être entrepreneur, c’est prendre un risque »

C’est au milieu de toutes ces expériences qu’il devient également auteur d’ouvrages sur le marketing ou encore sur la vie d’entrepreneur. Une vie bien remplie dont il s’évade chez lui le soir en écoutant « Tenderly » de Ben Webster… lorsqu’il travaille encore.

Pour Philippe Bloch, « être entrepreneur ou créateur, c’est prendre un risque », mais « chaque marche construit la suivante, et si on en rate une c’est pas grave ». C’est l’état d’esprit qu’il veut dégager de ses ouvrages car selon lui, en France, les gens ont souvent l’air de « subir le monde » plutôt que de le construire et de l’entreprendre.

Dans 5 ans, Philippe Bloch se voit toujours à écrire des bouquins, donner des conférences, et à jongler entre Paris, le sud de la France et New York. En fait, il se voit comme un « homme libre ».

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