Ça y est, vous avez maintenant tous les cadeaux pour votre famille. Ne manque plus que celui destiné à votre patron adoré. Quelques idées.
Alerte, alerte. Vous avez beau recompter dans tous les sens, il ne vous reste bien plus que 24H avant la fin des achats. Ce qui, en réalité, vous fait un ou deux petites heures en dehors des horaires des bureaux pour trouver le cadeau idéal à votre patron. L’angoisse totale !
Alors oui, on peut se poser la question : mais pourquoi voulez-vous donc offrir un cadeau à votre employeur ? Et bien, déjà pour se faire bien voir. Oui, être fayot, ça peut payer. Mais aussi et surtout, parce que ça peut vous faire plaisir.
Quelques idées, si vous êtes en panne d’inspiration
Un chargeur de téléphone
Pour toutes les fois où il a taxé votre chargeur, sous prétexte d’un « rendez-vous téléphonique ultra-giga important ». Au moins, il en aura toujours un dans son tiroir. Et si vous voulez marquer le coup, trouvez un modèle original. Il y a le chargeur toaster, le chargeur éolien. À vous de voir après le budget que vous voulez mettre.
Une cravate
À défaut d’être super original, dites-vous qu’une belle cravate de couleur unie ne sera jamais perdue : un rendez-vous impromptu, un évènement inopiné. Hop, grâce à la cravate de secours, votre patron peut sans difficulté se rendre à une soirée Ferrero Rocher.
Il vous en sera éternellement reconnaissant. Bon, en revanche, si votre patron est une patronne…
Une plante verte
Rempli à ras bord de dossiers, le bureau du dirigeant ressemble davantage à une cité universitaire qu’à un espace de travail. Aussi, un peu de « vert » ne fera pas de mal à son bureau. Offrez-lui donc une jolie plante qu’il bichonnera avec amour.
Essayez tout de même de mesurer son potentiel « jardinier ». S’il ou elle a grandi en ville, gardez-vous de lui offrir une plante fragile, comme un bonsaï. Restez-en à la bonne plante verte.
Et si vous sentez que son cas est désespéré, donnez-lui un cactus ou une plante en plastique. L’entretien en sera d’autant rapide.
Un livre
Bah oui, les dirigeants ont aussi besoin de se cultiver. Bon après, il ne faut pas se manquer. À un amoureux de l’histoire, ne lui offrez pas les mémoires de Sophie Davant. Quant aux adeptes des sujets plus légers, évitez les ouvrages trop pointus du style « la disparition » de Georges Perec, où la lettre « e » n’existe plus. L’achat à éviter.
Et vous, qu’est ce que vous offririez à votre responsable ?
Tancrède Blondé