Détesté au bureau : les signes qui ne trompent pas

Détesté au bureau : les signes qui ne trompent pas

Publié le 24 janvier 2014

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Persuadé de votre charisme, vous n’imaginez pas une seule seconde ne pas être populaire au sein de l’entreprise. Et pourtant…
L’entreprise, c’est un peu comme l’école. Il y a des gens qu’on aime bien, d’autres un peu moins. Et puis, il y a l’autre. Celui qu’on n’aime pas, mais alors pas du tout. D’ailleurs, c’est étonnant, personne n’arrive à l’encadrer. Non pas qu’il soit méchant, mais voilà, ça ne « passe pas ». Problème, il ne s’en rend même pas compte.
Enfin… VOUS ne vous rendez compte de rien. La preuve :

Le « bonjour », toujours neutre

Arrivé sur les lieux. Enjoué comme vous êtes, vous dites bonjour à tout le monde. Le sourire est de votre côté. En face, un semblant de zygomatique arrondi se forme sur les lèvres. Les yeux se plissent, mais le tout ne donne pas un sourire. C’est pas grave, « la fatigue », vous dites-vous. Problème, la quasi-intégralité des collègues vous renvoie cette même semi-grimace.
En réalité, de peur que cela embraye sur une conversation (dont ils ne veulent pas), ils verrouillent toutes les parties du corps pour que vous passiez votre chemin. C’est réussi.

Jamais on ne vous pose de questions sur votre vie

La logique est la même. Plus on vous pose de questions, plus il y a de chances que vous développiez une relation sociale éphémère. Aaarrgghh. Tout, mais pas ça ! Les échanges restent donc au niveau du fonctionnel : « où en est le dossier Marsipia ? », « peux-tu me passer le sel ? » Passionnant.

Tout le monde fuit à la cafétéria

« Bon, on retourne au boulot ? » C’est marrant, à l’instant où vous posez un pied dans la salle, tout le monde est pris d’une envie de bosser incroyable. Vous seriez le patron qu’ils ne s’y prendraient pas autrement.
Retournez-y cinq minutes après être parti. Si tout le monde est de retour alors, soit on vous prépare une méga-surprise, soit on vous déteste. Oui, sauf que…

On ne vous souhaite jamais votre anniversaire

Ou alors, c’est un conventionnel : « c’est vrai que c’est ton anniversaire aujourd’hui. Bah bon anniversaire alors… ». Votre voisin a reçu un drone Parrots pour sa fête grâce à la collecte de toute la boîte, alors que pour vos 40 ans, c’est à peine si on vous a offert un mug jaune.
C’est dur là quand même…

Tout le monde sourit quand vous partez

Même plus besoin d’être vendredi pour que tout le monde se sente en week-end. Il suffit que vous disparaissiez. Une après-midi, une heure, 10 minutes, qu’importe. Ils sont heureux loin de vous.
Il va vraiment falloir que vous vous posiez un jour des questions sur votre management. Vous avez beau être le patron, ça peut pas continuer comme ça.

 Tancrède Blondé

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