Stoporisk préfère prévenir que guérir les entreprises

Stoporisk préfère prévenir que guérir les entreprises

Publié le 13 mars 2014

Nous retrouvons Dominique Restino, Président et fondateur du Moovjee, et son témoin du mois Stéphane Malherbe, Président de Plein Ciel Bon Plan, pour présenter et échanger sur l’activité d’un jeune entrepreneur. Aujourd’hui, il s’agit de Julien Guillon, fondateur de l’entreprise Stoporisk, créée il y a 2 ans et spécialisée dans la formation, le conseil et l’équipement en prévention des risques professionnels, pour toutes les entreprises, en fonction de leur domaine d’activité.

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Stoporisk fait ainsi de la prévention au niveau des gestes de secours, des risques d’incendie, des travaux en hauteur, de la manipulation de l’électricité, etc. auprès des salariés en entreprise. La société travaille avec des professionnels de la sécurité et en l’occurrence, avec des formateurs certifiés par l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS).
Julien Guillon est un entrepreneur au profil vraiment atypique. Il a une formation de palefrenier soigneur, puis il a été sapeur-pompier de Paris pendant 10 ans, a travaillé à l’unité d’intervention de la sécurité civile, pour enfin créer son entreprise. Julien Guillon fait d’ailleurs partie de la 1ère promotion de l’incubateur Le Comptoir, une initiative du Comptoir de l’Innovation en partenariat avec le MoovJee. Il a donc démarré son entreprise il y a 2 ans avec un petit capital de départ de 3 000 € pour obtenir un chiffre d’affaires de 103 000 € en 2013, en assurant environ 120 formations.
Aujourd’hui, peu importe la taille de l’entreprise, il permet à des groupes de salariés d’apprendre les gestes de secours de manière ludique. La société a un catalogue d’une trentaine de formations, consultables sur le site ainsi que sur l’application de Stoporisk. Le modèle économique de Stoporisk consiste à acheter une prestation pour la revendre. En effet, Stoporisk conseille une formation au client, la met en place et envoie un formateur faisant partie de son réseau pour accomplir cette mission de formation.
Pour Julien Guillon, les perspectives de chiffres pour 2014 seraient de doubler le chiffre d’affaires. Et les objectifs de l’entreprise à moyen terme sont de « développer Stoporisk au niveau national, d’augmenter ses compétences et de faire en sorte que les salariés en France deviennent aussi plus compétents, puis enfin d’embaucher de plus en plus à temps plein ».

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