Concours Tremplin Entreprises : la fondatrice de QAPA témoigne

Concours Tremplin Entreprises : la fondatrice de QAPA témoigne

Publié le 4 septembre 2014

Concours Tremplin Entreprises
Place aux entrepreneurs innovants dans le cadre du concours Tremplin Entreprises, coorganisé par le Sénat et l’ESSEC depuis 1999. Ce concours national pour les entreprises innovantes met en valeur et accompagne un certain nombre d’entrepreneurs et notamment Stéphanie Delestre, que nous recevons aujourd’hui et qui a eu l’occasion de participer à ce concours. Stéphanie Delestre est fondatrice et PDG de QAPA.fr, le site d’emplois en France qui connait la plus grosse croissance, et a déjà participé au concours Tremplin Entreprises.

Volonté de faire d’une entreprise un leader

Elle revient avec nous sur son parcours professionnel, ses différentes expériences au sein de grands groupes et son éternelle volonté d’entreprendre qui l’ont amené à fonder sa propre société et à en faire un leader. QAPA a donc été lancé il y a 3 ans et, à présent, grâce à ce site de recrutement et à un algorithme « magique », les candidats trouvent les offres qui sont faites pour eux. Aujourd’hui, QAPA réunit plus de 200 000 candidats en France qui s’inscrivent tous les mois et plus de 150 000 offres d’emplois.

L’objectif : l’international

Stéphanie Delestre nous confie que, grâce au concours Tremplin Entreprises, elle a eu l’opportunité d’échanger avec des professionnels et des experts, mais surtout d’être mise en avant face à des investisseurs. Aujourd’hui, l’entreprise a pour projet de « continuer à travailler sa notoriété en France » mais surtout de s’exporter. Elle lance ainsi une nouvelle levée de fonds pour aller à l’international.
Les conseils de notre invitée aux entrepreneurs qui souhaiteraient lever des fonds pour développer leur projet sont de « s’adresser à un gros marché », « choisir un marché où il ne s’est pas passé grand-chose depuis longtemps », « avoir une bonne équipe » et enfin, « s’adresser à un marché qui peut s’internationaliser ». En effet, il faut savoir partir à l’international « au bon rythme : ni trop tôt ni trop tard ».

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