Matrix 3D-concept : la franchise qui veut démocratiser l’impression 3D

Matrix 3D-concept : la franchise qui veut démocratiser l’impression 3D

Publié le 27 mars 2015

Certaines franchises ne s’interdisent pas l’innovation technologique, Matrix 3D-concept en fait partie. Ce jeune réseau créé en 2013 souhaite atteindre 120 points de vente d’ici la fin de sa première année en franchise.

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Imaginez-vous, un début de week-end, à l’heure de passer l’aspirateur, une pièce de ce dernier vous lâche et vous condamne à passer des heures à écumer les magasins d’électroménager impersonnels, en quête d’un bout de plastique insignifiant. La mission de Matrix 3D, jeune réseau spécialisé dans l’impression 3D, est de faire disparaître ce genre de situation en vous conduisant directement vers un de ses franchisés qui, à partir de la pièce elle-même ou d’une simple photo, se chargera de la modéliser et de l’imprimer en moins d’une heure en 3D. A terme, l’enseigne créée en 2013 souhaite, selon les mots de son fondateur Shakir Bader, « démystifier l’impression 3D » en ouvrant rien qu’en 2015 pas moins de 120 points de vente dans toute l’Europe.

Un concept de niche pour un marché immense

A l’origine du concept, une idée qui paraît de moins en moins folle à mesure que Shakir Bader la décrit. En parallèle de Matrix 3D-concept, l’homme est également dirigeant et fondateur et de Hilltecks Distribution, entreprise spécialisée dans la production de vélos électriques. L’impression 3D selon lui « c’est une vague très large, un marché démembré qui touche de nombreux secteurs ».
Un marché vaste qui nécessite de structurer une offre tout aussi fournie. Ainsi, l’enseigne s’articule autour de trois activités principales : la vente, la modélisation et l’impression.
En phase avec son objectif de démocratisation de la technologie, Matrix 3D-concept vend des imprimantes grand public. Les prix vont de 890 à 1 190 euros, pour des machines capables de produire des objets à partir de matériaux de natures diverses.
L’activité modélisation-impression représente quant à elle « 30 à 40 % de l’activité de l’enseigne », précise Shakir Bader. C’est de loin la plus prometteuse, notamment grâce à l’outil Body Scanner qui, comme son nom l’indique, s’attache à modéliser des personnes pour ensuite les « imprimer » en modèle réduit, ou pour en exploiter les données détaillées… Avec des applications auxquelles le fondateur n’a parfois lui-même pas pensé : « Le milieu de l’hôtellerie nous…
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Quentin Velluet

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