E. Zulbearoski : « J’ai beaucoup appris en tant que vendeur et responsable »

E. Zulbearoski : « J’ai beaucoup appris en tant que vendeur et responsable »

Publié le 24 juillet 2015

A 36 ans, Edvin Zulbearoski vient d’ouvrir son second magasin sous l’enseigne Monceau Fleurs. Franchisé depuis 2012, ce jeune chef d’entreprise a pratiquement effectué la totalité de sa carrière au sein du réseau de fleuristes.

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Persévérance, patience et courage pourraient résumer le caractère d’Edvin Zulbearoski. Fraichement multi-franchisé, il a ouvert son deuxième point de vente à Vincennes (94) en mai 2015. Un accomplissement après plusieurs années en tant que salarié du réseau Monceau Fleurs.
Entré en 2006 en tant que vendeur dans la boutique historique de la rue Malesherbes à Paris, il gravit peu à peu les échelons et devient responsable du point de vente. Avant Monceau, il a connu les fleuristes indépendants, mais il préfère Monceau Fleurs « pour ses perspectives d’évolution ».

Des avantages pour l’installation

Le temps semble lui avoir donné raison, pourtant son lancement en franchise n’a pas été sans risques. « Entre l’idée, et la concrétisation de mon projet, il s’est passé deux années », explique le multi-franchisé. En 2010, Edvin Zulbearoski entame les démarches pour devenir franchisé. A ce moment, le groupe Monceau Fleurs n’est pas encore au bord de la faillite, mais connaît des difficultés suffisantes pour refuser toutes candidatures. Il est donc l’unique candidat à la franchise retenu par l’enseigne.
C’est sur ce point que son statut fait la différence : il est salarié depuis quatre ans, donc connu du réseau. « J’ai bénéficié de l’appui direct de Laurent Pfeiffer [le PDG du groupe NDLR] avec qui j’ai de très bons rapports », explique le franchisé. En effet, il…
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