FlameFy lève 700 000 euros pour asseoir son leadership à l’international

FlameFy lève 700 000 euros pour asseoir son leadership à l’international

La startup franco-chinoise FlameFy annonce une levée de fonds, d’un montant de 700 000 euros pour accélérer sa croissance et se développer à l’international.

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FlameFy fait rêver les médias du monde entier. La startup créée en 2013 a conclu en décembre 2015 une levée de fonds de décollage (seed funding) de 700 000 euros auprès de plusieurs serials entrepreneurs asiatiques. L’objectif : consolider la R&D et développer les ventes à l’international.

Soutenue par BPI, FlameFy est également lauréate de Scientipole. Elle est incubée au sein de la nouvelle structure de Paris & Co, lancée en partenariat avec TF1. Elle intègre également l’incubateur de Pékin. Une double culture qui l’a poussée à développer ses équipes à la fois à Paris et à Pékin. La startup prévoit d’ouvrir un bureau à Singapour dans les mois à venir.

La plateforme SaaS FlameFy permet aux médias de mieux comprendre leur audience. Sa technologie basée sur les smart data calculée en temps réel, identifie les différentes communautés en un temps record. Résultat, les chaînes peuvent automatiser l’orchestration de stratégie marketing sur tous les canaux mis à sa disposition. En clair, elle distribue le bon contenu, à la bonne personne, au bon moment.

Alibaba et The Economist au comité stratégique de FlameFy

Ce qui donne à la startup franco-chinoise une force de frappe exceptionnelle. Aujourd’hui, FlameFy a déjà séduit de nombreux médias, agences, marques et producteurs de contenus TV, web et cinéma, tels que France Télévisions, Canal+, Spicee, l’INA, BFM TV, MEC, Glory Paris. Avec cette levée de fonds, d’autres chaînes devraient succomber à l’offre de FlameFy. C’est en tout cas ce qu’on lui souhaite.

Fondée par Jessica Xu et Cédric Monnier, vétérans de l’industrie du jeu et de la télévision, FlameFy s’est dotée d’un comité stratégique constitué de personnes influentes du métier des médias et des nouvelles technologies. On retrouve notamment l’entreprise Alibaba de Jack Ma et le journal The Economist.

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