BlaBlaCar : « On se considère toujours comme une startup »

BlaBlaCar : « On se considère toujours comme une startup »

Publié le 13 juin 2016

A l’occasion des 100 jours pour entreprendre, nous rencontrons la Responsable communication de BlaBlaCar, Diane Prébay. Startup devenue licorne, l’entreprise cherche à soutenir les futures pépites.

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« C’est une évidence, une continuité de soutenir les entrepreneurs », nous informe Diane Prébay. La licorne phare de l’économie collaborative française soutient les projets innovants. Fervent défenseur du « share more, learn more », Frédéric Mazella, fondateur de Blablacar, organise d’ailleurs de nombreux événements durant lesquels il accompagne au quotidien les entrepreneurs dans leurs questionnements. Il a d’ailleurs été le parrain de l’édition précédente.

« Être une startup, c’est un état d’esprit »

La licorne française facilite le trajet de 110 000 personnes en moyenne quotidiennement, et ce dans 22 pays à travers le monde. Ses levées de fonds à répétition lui ont permis d’évincer l’intégralité de ses concurrents. Ils sont désormais leader sur le secteur du covoiturage. Malgré tout, l’entreprise revendique son statut de startup : « Etre une startup dépend de la façon dont on travaille, de l’agilité qu’on peut avoir et la passion au quotidien qui nous rassemble tous. BlaBlaCar c’est une licorne aujourd’hui, mais nous nous considérons toujours comme une famille, comme un startup », nous confie la Responsable communication.

#Replay : Avant de devenir une licorne, il faut bien souvent lever des fonds. Le startupper te livre son expérience dans son épisode 3 :

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