« Il est possible qu’on ait trouvé le moyen d’aller plus vite », indique Yoram Moyal. Après les cartes de visites du futur, Buzcard s’attaque désormais à la carte vitale. « Si quelqu’un me trouve inanimé, il peut scanner ma carte et tombera sur mes données vitales de niveau 1. Il aura donc accès aux numéros de mes proches à appeler par exemple », explique l’entrepreneur. Quant au niveau 2, il permettra aux médecins d’accéder aux antécédents médicaux, aux pathologies.
Et Buzcard pense aussi à la sécurité des données. « On fait payer la confidentialité. Mais si c’est une entreprise qui paye, elle n’aura absolument pas accés aux données personnelles de ses salariés », souligne-t-il.
#Replay : Lui aussi veut changer le monde mais avant il doit trouver des fonds. Le Startupper #3 c’est juste là :