Le Street Art au service du marketing

Le Street Art au service du marketing

Publié le 15 février 2017

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Le Street Art est bien souvent au service du Street marketing. Marcel Saucet montre les tendances et détaille les mécanismes de cette méthode de communication alternative. 

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Quand l’art et le marketing font bon ménage. Dans cette chronique, Marcel Saucet explique comment « le Street Art a permis à des entreprises de gagner de l’argent, même aux plus petites ». Et il suffit souvent de très peu de choses pour attirer l’attention des passants. Par exemple, on apprend qu’un coiffeur londonien utilise les bosquets de la ville pour faire sa publicité. Efficace.
[Tweet « Les entreprises passent au Street Art »]
D’autres structures n’hésitent pas à utiliser les autres éléments de la ville. Par exemple, la marque l’Etat Libre d’Orange utilise le mobilier urbain pour atteindre sa cible commerciale qui est masculine et homosexuelle. « Elle n’a pas trop d’argent, mais beaucoup d’idées », souligne Marcel Saucet. Ce qui lui permet d’atteindre son objectif principal : faire connaître le nom de la marque à très peu de frais. Il suffit de voir la vidéo pour comprendre pourquoi.

« Et évidemment, ça marche à la fin »

Mais, les entreprises ne sont pas les seules à utiliser les codes du Street Art. « Très vite, beaucoup d’organisations se sont mises à utiliser l’art à des fins de communication, pas forcément lucratives. On a par exemple l’ONU qui a décidé d’utiliser les codes de la communication avec les codes urbains ». Il donne l’exemple d’une rue qui donne l’impression d’avoir été déforestée.
De manière générale, les marques se mettent au Street Art pour une raison toute simple : c’est la rue, c’est la vie, c’est l’endroit de tous les jours. « Et évidemment, ça marche à la fin. Ça parle au consommateur, ça parle aux passants. Attention cependant à une chose : s’il pleut et que vous avez payé un artiste pour faire une œuvre géante, vous allez devoir payer à nouveau l’artiste ».
Avec le Street Marketing, il faut apprendre à prévoir l’imprévisible.
#Replay : Dans cette précédente chronique de Marcel Saucet, vous apprendrez tout sur l’outdoor Marketing. 

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