Avec quels entrepreneur(e)s passeriez-vous la Saint-Valentin ?

Avec quels entrepreneur(e)s passeriez-vous la Saint-Valentin ?

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Les musiciens à la voix suave et autres stars de cinéma ne sont pas les seuls à nous émoustiller. Par leurs idées novatrices et leur esprit d’initiative, les entrepreneurs nous inspirent… et nous font parfois craquer. Dans l’univers des startups en particulier, ils ne laissent pas indifférents. 

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Mais alors, avec qui les startuppers rêvent-ils de passer la Saint-Valentin ? À l’occasion de la fête des amoureux, nous leur avons directement posé la question. Si les sondés ont tenu à rester anonymes (peut-être au cas où ils croiseraient les personnes concernées lors d’une soirée networking…), nous avons pensé que vous aimeriez malgré tout connaître leurs réponses…

Top 5 des Valentines

Ophélie Duvillard. Jeune mannequin originaire de Megève, elle partage depuis plusieurs années ses conseils mode, beauté et voyage sur son blog : ophelieduvillard.fr. En novembre dernier, la jeune femme a dévoilé sa plateforme numérique Way2up, qui met en relation les influenceurs et les marques, sans intermédiaire.

Charline Goutal, Ma P'tite Culotte

Charline Goutal. Co-fondatrice de Ma p’tite culotte, la jolie blonde bouscule les codes de la lingerie féminine. Humour et audace sont les maîtres mots de la marque, qui veut permettre aux femmes de choisir leurs sous-vêtements en fonction de leur humeur. D’abord 100 % digitale, la startup a ouvert son premier concept store dans le 7ème arrondissement parisien.

Anne-Christelle Pérochon. C’est au cours d’un voyage à Tokyo, qu’a germé le concept de Bim dans l’esprit de la jeune femme. Cette application permet de visualiser les meilleures tables autour de soi, de les réserver en un clic et même de partager l’addition avec ses amis.

Lara Rouyres. Qui n’a jamais rêvé de pouvoir shopper en un clic vêtements et accessoires repérés dans un magazine ? C’est le concept de Selectionnist, imaginé par Lara Rouyres et Tatiana Jama. Il vous suffit de flasher vos produits coups de cœur pour les retrouver online, grâce à une technologie de reconnaissance visuelle.

Samantha Montalban. Créer une marque de lingerie adaptée à la morphologie des jeunes filles, et qui ne soit ni trop bébé, ni trop sexy, c’est le pari que s’est lancé la jeune entrepreneuse. Elle a alors créé Mina Storm, avec son associée Chloé Bernard. Dans leurs sous-vêtements, pas d’armatures, de rembourrages ni de dentelles… mais des designs frais et rock’n roll qui allient mode et confort.

Top 5 des Valentins

Guillaume Gibault. Le slip, ringard ? Pas à en croire le fondateur du Slip français, qui a transformé un produit souffrant de désamour en symbole du Made in France. Sa force : une communication virale largement basée sur l’humour et le second degré. Et ça marche ! Le beau brun a même été désigné « Entrepreneur préféré des Français » par Les Echos en 2017.

Félix Canto. Co-fondateur de L’Orangerie de Paris, le startupper apporte de la vitamine C à l’heure de la pause-café. Son entreprise commercialise en B2B des distributeurs de jus d’orange pressée. On peut aujourd’hui trouver leurs machines au sein de grandes entreprises telles qu’Ubisoft, Showroomprivé, L’Oréal ou Free, mais aussi dans plusieurs gares parisiennes et des salles de sport.

Ronan Pelloux. Co-fondateur de Creads, une agence de design participative, cet ancien basketteur a également été nommé Sherpa du G20 des Jeunes Entrepreneurs trois années consécutives. Sa plateforme réunit aujourd’hui plus de 50 000 créatifs en freelance, et propose à ses clients de déposer leurs briefs en ligne.

Louis Marty. Sa startup, Merci Handy, s’est d’abord fait connaître par ses petits gels nettoyants pour les mains. Et on peut désormais trouver ses produits dans toute l’Europe, chez Sephora, H&M, Monoprix… Un succès largement porté par une stratégie marketing basée sur la communauté et l’univers de marque. Car si leurs cosmétiques n’ont rien de révolutionnaire, ils séduisent par leurs packagings fun et une communication décalée.
Alexis Caradet

Alexis Caradet. À l’ère du numérique, surveiller son image digitale est primordial. Et cela passe par la publication des bons clichés sur les réseaux sociaux. C’est en voulant réaliser une photo pour son profil LinkedIn qu’Alexis Caradet a eu l’idée de Portrait 2.0. Le concept ? Une séance photo professionnelle, pour réaliser un portrait en accord avec le message que vous souhaitez véhiculer.

Vous n’êtes pas dans le top 5 ? Encore quelques soirées networking pour changer la donne. Si vous auriez fait un autre choix, n’hésitez pas à nous dire celles et ceux qui, à vos yeux, font craquer plus d’un coeur en secret.

Bien que la beauté soit subjective, les résultats de ces entrepreneur(e)s ne le sont pas. Avant de séduire l’écosystème, ils ont avant tout réussi à séduire leurs clients, et ça, jour de la Saint Valentin ou pas, on aime !

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