L’INSEEC ouvre ses portes à l’Université du Bonheur au Travail

L’INSEEC ouvre ses portes à l’Université du Bonheur au Travail

La première édition de l’Université du Bonheur au Travail se déroule les 29, 30 et 31 octobre prochains dans les locaux de l’INSEEC. 120 participants se réunissent pour apprendre et partager leurs idées du bien être au travail.

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Le bien être au travail apparaît comme un enjeu majeur dans notre société. À l’heure où le « burn-out » fait partie du langage courant, l’INSEEC accueille l’Université du Bonheur au Travail sur l’initiative du think tank de la Fabrique Spinoza. Au programme de ces trois jours, une progression de la pensée autour des thématiques du « Je », du « Tu », et du « Nous ».

Près de soixante experts préparent des ateliers thématiques et des plénières pour échanger sur la question du bonheur au travail. Ils séparent leur pensée en trois points. Le « Je », incarne la vision personnelle du bien être. Le « Tu », s’intéresse à la relation envers les autres. Enfin, le « Nous », pousse la réflexion jusqu’à l’action collective.

« Osez les happy conflits. »

Ces ateliers thématiques apparaissent comme des expérimentations. Le deuxième jour, articulé autour du « Tu », prévoit différentes mises en situations pour les 120 participants, divisés en groupes de 15 personnes. Par exemple, l’une de ces expérimentations s’intitule « Osez les happy conflits ». Benjamin Aubert, psycho-sociologue, encadre cet atelier vendredi 30 octobre, dans lequel les participants se prêtent à un jeu d’improvisation. En fin de journée, les experts et les participants procèdent à un échange de bonne pratique.

En parallèle de ces ateliers « expérientiels », l’association #HackTonBonheur se met au défi de produire une œuvre collective en 48 heures. Ce document, résultant de la réflexion d’intellectuels et de professionnels du monde de l’entreprise, sera ensuite diffusé en open source sur le site de l’évènement. Grâce à cette Université du Bonheur au Travail, les organisateurs espèrent créer une communauté soudée, qui continuera à débattre sur le sujet. Cette première édition de l’évènement apparaît comme un essai, si l’Université du Bonheur au Travail séduit, l’expérience sera renouvelée.

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