Emmanuel Amon, Viareport : quand cartésien rime aussi avec humour, émotion, rock, jazz et opéra

Emmanuel Amon, Viareport : quand cartésien rime aussi avec humour, émotion, rock, jazz et opéra

Stéphane Vincent reçoit pour ce nouveau « Jukebox de ma vie », Emmanuel Amon, dirigeant de Viareport. Cette société qu’il a créée en 2005 est éditeur de logiciels dans le monde du reporting financier pour des groupes d’entreprises et pour des experts comptables.

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Après avoir fait découvrir sa société et les spécificités de son métier, Emmanuel Aron nous parle des airs qui ont accompagné sa vie et son parcours de créateur d’entreprise. Pour illustrer d’où il vient, il choisit la chanson de Jacques Dutronc « Paris s’éveille », car Paris et la ville où il vit et où il a passé quasiment toute sa vie. Le titre qu’il associe à son enfance est « Cruel summer » de Bananarama.

Il nous propose ensuite ses goûts musicaux tels que : « Ovni » de Magic Malik, groupe de jazz qui l’a captivé lorsqu’il l’a découvert par hasard un soir au New Morning et qu’il continue à écouter en se laissant emporter; « L’ouverture de Figaro » de Mozart qu’il a écouté, pendant les deux premières années de création de sa première entreprise, à peu près tous les matins ; « L’ouverture de Guillaume Tell » de Rossini; La vie de Brian, « Always look at the bright side of life », car prendre la vie du bon côté est une de ses devises ; Los Manolos avec « Stranger in the night » juste parce qu’il adore ; Dr Alban « Sing Hallelujah », qu’il passe dans son entreprise à chaque signature de gros contrats .

Continuer à s’amuser

Dans cinq ans, Viareport sera européenne, pas forcément avec des centaines de consultants mais au moins avec des représentations dans plusieurs pays européens. Quant à lui, il espère continuer à être là pour son entreprise et continuer à s’amuser !

Il termine sa playlist par le morceau qui le touche le plus et son meilleur moment de concert. C’était un moment à l’Opéra Bastille en décembre 1997, pendant « l’air de Violetta » de la Traviata de Verdi chanté par Angela Gheorghiu, qui avait alors ému les deux mille cinq cents personnes présentes dans la salle.

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