Italie : un territoire proche de la France pour faire du business

Italie : un territoire proche de la France pour faire du business

Publié le 13 juillet 2016

Ce mois-ci, dans Entrepreneurs du monde, Tancrède Blondé discute des opportunités de business en Italie avec Enrico Rovida, président-fondateur de la Team S.R.L.

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L’Italie constitue un territoire atypique de par son morcellement. De grandes disparités persistent entre le nord et le sud du pays. Chaque région a ses particularités, sa culture et nécessite une approche particulière. Enrico Rovida nous invite à nous plonger dans sa ville de prédilection : Gênes.

L’empathie au service du business

Selon le président, travailler en France et en Italie comporte des similitudes, mais implique des efforts. Il faut en permanence chercher à cerner la culture locale et la mentalité des gens. L’important est d’établir un contact afin de pouvoir travailler de manière utile.

« C’est une ville qui a un passé industriel très important : acier, bateaux. Aujourd’hui, elle a complètement refondé son domaine industriel. Elle se tourne beaucoup sur l’électronique, sur la partie biotechnologie. Nous avons d’ailleurs un institut national très important : l’Institut Italien de la Technologie », nous explique-t-il.

« Nous sommes des cousins pour les Français »

Au-delà du cap de la langue, le fondateur de la Team S.R.L partage ses conseils pour prospecter efficacement à Gênes. Selon lui, le contact direct est obligatoire. Mais, chercher le soutien d’une société de conseil reste un choix pertinent. Il suggère de mettre l’accent sur la nouveauté et l’innovation. Des facteurs sur lesquels la population italienne accorde une importance particulière.
Enrico Rovida clôt cette interview sur des mots d’encouragement à l’égard des entrepreneurs français : « L’Italie vaut la peine d’être découverte. Nous sommes des cousins pour les Français. Cette mentalité qui est très proche nous permet de faire de belles choses ensemble ».
#Replay : pour faire lui aussi de belles choses, notre startupper doit préalablement lever des fonds. Son 3e épisode, c’est par ici :

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