Financement : apprendre à parler le « banquier »

Financement : apprendre à parler le « banquier »

Publié le 13 octobre 2014


Pour traduire le langage quotidien des banquiers, nous recevons Éric Bonnet, Président d’Haxone, société spécialisée dans la direction financière en temps partagé, et également associé au cabinet de gestion de patrimoine, Haxone.
L.B.O., C.A.T. ou encore C.C.M. sont autant de sigles appartenant au langage des banquiers et face auxquels nous nous sentons débordés. Éric Bonnet nous explique ici qu’apprendre « à parler le banquier, c’est d’abord savoir à qui on a à faire en face de soi ». Car, oui, « il existe plusieurs types de banquiers ».

Qui est réellement mon banquier ?

En effet, 3 marchés différents sont distingués en banque : « le particulier, l’entrepreneur ou la TPE en croissance qui appartient au marché des professionnels, et passé un certain stade de chiffre d’affaires et de salariés, les PME », qui ont à faire aux services de clientèle entreprises.
Le plus souvent, les créateurs, entrepreneurs ou TPE ont comme conseiller privilégié, un conseiller de clientèle professionnelle ou un directeur d’agence en face d’eux. Notre expert, Éric Bonnet, insiste sur le fait qu’il « faut être sensible à cela lorsque l’on fait une demande à son banquier », car c’est la personne qui sera « le 1er avocat » de notre demande devant la direction.

Obtenir ce que l’on est venu chercher

Pour rentrer dans la tête du banquier, il faut lui présenter les choses comme il a envie de les voir. Par exemple, comme nous l’avions vu dans une précédente chronique d’expert, les banquiers sont assez réticents à l’idée de financer l’immatériel.

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