La victoire en cinq citations

La victoire en cinq citations

Publié le 8 mai 2014

 
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Après six années de guerre totale, les armées alliées ont réussi à anéantir les puissances de l’axe. Une victoire qui a été motivé aussi par le verbe de certains hommes d’état.
Malgré les 69 années qui se sont écoulées, la joie de la victoire n’a pas pris une ride. Il faut dire, les armées opposées à l’Allemagne nazi ont bien failli périr. Heureusement, des hommes et des femmes se sont dressés pour galvaniser les populations. Des phrases que les entrepreneurs ont tout intérêt à reprendre pour motiver leurs troupes.

« Je n’ai rien à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur »

Lors de son discours de politique général resté célèbre, Winston Churchill annonce la couleur. À l’époque, l’Angleterre est seule face à l’Allemagne qui vient d’écraser la France en trois petites semaine. Rien ne la protège, hormis la mer et ses pilotes de la Royal Air Force. Les Stukas d’Hitler pilonnent Londres et ses alentours. La pression est énorme sur Churchill, mais le dirigeant ne rompt pas. Quitte à périr, autant le faire avec panache.

« Agissez comme s’il était impossible d’échouer »

Entre deux attaques, le premier ministre visite les familles qui viennent de perdre leur maison ou un proche. À tous, il leur dit de garder la tête haute. « L’Angleterre va écraser l’ennemi », explique-t-il à tout le monde. Ce n’est qu’une question de temps. Culotté à cette époque où le rapport de force est ultra défavorable à la Grande-Bretagne.
Et pourtant, tout le pays l’a suivi et a eu raison.

« La France a perdu une bataille, mais la France n’a pas perdu la guerre »

Alors que le maréchal Pétain vient de demander l’armistice à l’Allemagne, un obscur général parle de Londres pour expliquer aux Français que la guerre n’est pas perdue.
Le général de Gaulle ne le sait pas encore, mais cet appel du 18 juin est le début d’une longue épopée qui va emmener des milliers de jeunes français vers la victoire finale.

« La victoire complète, et rien d’autre ! »

La victoire s’arrache, plus qu’elle ne se mérite. Surtout en période de guerre. Afin qu’elle ne lui échappe pas, Dwight D. Eisenhower ne laisse rien au hasard. Il pense à tout, anticipe tout. Connu, pour ses compétences d’organisation, il va diriger la grande coalition qui débarquera sur les plages normandes un certain 6 juin 1944.

« On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite »

La victoire ne s’offre pas nécessairement au premier venu. Bien au contraire. Comme l’explique ce proverbe, il faut parfois passer par de nombreuses déconvenues avant de trouver la solution.
Comme disait Clausewitz, militaire prussien et spécialiste de la stratégie napoléonienne : « le vainqueur est celui qui tient le dernier quart d’heure ».
Un entrepreneur victorieux est avant tout un entrepreneur endurant au mal.

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