365c, leader des bars à coiffures veut asseoir son leadership dans toute la France

365c, leader des bars à coiffures veut asseoir son leadership dans toute la France

Publié le 25 octobre 2016

365c, première marque de bars à coiffures veut lever 600 000 euros via la plateforme de crowdfunding Sowefund.

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Un nouveau concept pour les entrepreneuses qui courent après le temps. En levant 600 000 euros, 365c veut donner un coup de boost au marché de la coiffure. Rozina Valimahamed, fondatrice de cette startup est partie du principe que ce marché n’a pas opéré son tournant 2.0.
« Il faut dépoussiérer l’expérience client en construisant un label de qualité et de confiance sur le secteur » affirme la fondatrice. Le tout, grâce à des recettes simples : pas de coupe ni de shampoing, mais une coiffure mode avec des collections saisonnières déposées, le tout élaboré en 15 minutes par des coiffeurs spécialisés à des prix accessibles.
Grâce à ce nouveau financement, Rozina Valimahamed souhaite déployer son modèle partout en France et, à terme, à l’international. Un développement qui passera notamment par le recrutement de nouveaux talents.
Quant à l’expérience client, l’entrepreneuse souhaite l’enrichir avec l’arrivée d’une application pour smartphone « afin de toujours plus faciliter la prise de rendez et maximiser l’acquisition (SEO, vidéos, partenariats, etc) ».

365c convainc Sowefund et les fondateurs de Serena Capital

Et le concept a déjà séduit plus de 14 000 clientes et affiche une croissance croissance de 25% entre 2015 et 2016. La marque peut aussi se targuer de son taux de satisfaction record de 95%.
Des chiffres qui ont su convaincre Georges Viglietti, président de Sowefund. « C’est un projet à la fois original et très bien construit. Il répond à de réels besoins et a déjà fait ses preuves avec un modèle de boutique rentable en moins de 12 mois. La société a d’ores et déjà convaincu ses investisseurs privés historiques, Xavier Lorphelin et Marc Fournier, qui sont des professionnels reconnus de l’investissement et par ailleurs fondateurs du fonds d’investissement Serena Capital, de prendre part à ce nouveau tour de table », commente-t-il.
#Replay : cette startup aussi s’adresse aux femmes, ou plutôt aux jeunes filles. Pour découvrir le concept de Mina Storm, c’est par là :

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