Chief Happiness Officer : remettre l’humain au coeur de l’entreprise

Chief Happiness Officer : remettre l’humain au coeur de l’entreprise

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Angelika Mleczko a travaillé 14 ans dans l’événementiel avant de devenir Chief Happiness Officer. Dans Entre Nous, elle revient sur son changement de vie radical et son envie d’arriver à un management bienveillant dans les entreprises. 

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Notre société de surconsommation nous rend-elle plus malheureuse que nos aïeuls ? Pour Angelika Mleczko, cette société fait oublier à chacun son besoin d’être avec les autres. « On est tous en train de courir partout. On ne prend même plus le temps de se dire bonjour, de créer des moments de bien être… », regrette-t-elle.

Pourtant, le bien être serait la base de la performance d’une entreprise. En tant que Chief Happiness Officer, la consultant réinstaure le dialogue dans les entreprises pour créer un impact positif. « Si on donne les bonnes conditions aux gens, qu’ils se sentent pris en considération, il y  aura un impact positif sur leur performance. C’est au patron de veiller au bien être de ses collaborateurs. S’ils vont bien, les clients vont le ressentir », explique-t-elle.

Les jeunes générations ont des nouveaux critères d’embauche

Plus les salariés se sentiront bien au sein de leur entreprise, moins il y aura d’absentéisme ou de turnover qui représentent des coûts non négligeables pour l’entreprise. « Les jeunes générations n’ont plus les mêmes critères en matière d’embauche. Elles vont demander au DRH quels sont les services de l’entreprise. Y a t-il  une salle de sieste ou des tickets restaurant ? Que les entreprises le veuillent ou non, tous ces exemples commencent à devenir les nouveaux critères d’embauche », développe l’invitée dans cette émission.

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