La startup auvergnate Sezam Labs qui a imaginé un bracelet intelligent sans contact lève 800 000€

La startup auvergnate Sezam Labs qui a imaginé un bracelet intelligent sans contact lève 800 000€

Publié le 13 décembre 2016

Après avoir été lauréate du concours #101projets, Sezam Labs, soutenue par le Conseil régional Auvergne – Rhône-Alpes, vient de boucler une levée de plus de 800 000 €.

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La Région Auvergne a du talent. Soutenue par le Conseil région Auvergne – Rhône-Alpes, Sezam Labs va pouvoir agrandir son équipe pour accélérer son démarrage commercial et poursuivre ses efforts en R&D initiés depuis 2 ans maintenant.
Fondée en 2013, la startup commercialise une solution de bracelet intelligent sans-contact pour « offrir une nouvelle expérience de mobilité et de consommation, baptisée SEZAM », comme l’explique le communiqué.

« Bien plus qu’un simple bracelet connecté, SEZAM est une technologie intelligente qui permet à tout type d’entreprise de créer une expérience plus simple, plus sûre et plus fun autour de 4 produits : le paiement sans contact, la billetterie inviolable, le contrôle d’accès et l’analyse de données intelligente », indique la startup.

Sezam Labs est déjà soutenue par Xavier Niel, Marc Simoncini ou Jacques-Antoine Granjon

Et la jeune pousse va encore plus loin grâce à sa technologie de pointe Smart Identity. Grâce à ses technologies cryptographiques avancées dans la veine des blockchains; le bracelet permet d’identifier de manière unique toute information et de tracer l’intégralité de son cycle de vie.

« Chaque transaction, ticket et contrôle d’accès garantis, sûrs et confidentiels »; assure la startup.

Basée à Clermont-Ferrand, Sezam Labs est le fruit de l’association de 2 jeunes étudiants passionnés du numérique; Benoît Pascal et Clément Barbier. Lauréate de plusieurs concours en France, l’entreprise, déjà soutenue par Xavier Niel, Marc Simoncini ou Jacques-Antoine Granjon.
#Replay : Avec Scality, Jérôme Lecat a réussi à s’exporter aux États-Unis ou au Japon. Dans Entrepreneurs du Monde, il revient sur cette réussite entrepreneuriale :

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