Gang of Early Bird : « Il y a une solidarité féminine assez impressionnante »

Gang of Early Bird : « Il y a une solidarité féminine assez impressionnante »

En partenariat avec Les Echos Start, Widoobiz a demandé à la fondatrice de Gang of Early Birds, Fanny Airault, d’évoquer le déclic qui l’a poussé à suivre la voie de l’entrepreneuriat lors du Salon des Entrepreneurs de Marseille.

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Concept Store lancé dans le Marais, l’entrepreneure a voulu apporté de l’exclusivité et de différenciation sur le marché de la mode en France haut de gamme. « On propose des marques de designers et stylistes d’un peu partout. Notre objectif, c’est se développer en France», raconte Fanny Airault.

Son déclic pour se lancer ? « J’étais en CDD chez Lanvin en tant qu’acheteuse. J’avais l’opportunité d’avoir un CDI, mais j’avais définitivement trop envie d’avoir mon propre projet. Donc, c’est maintenant qu’il faut que je le fasse. En plus, je n’ai pas d’enfants, pas de crédit. J’étais libre comme l’air ».

Le premier challenge à relever a été d’obtenir son « prêt bancaire pour financer mon fonds de commerce ». D’autres défis s’imposent à elle par la suite. Mais cela ne lui fait pas peur. Elle sait qu’elle peut compter sur ses collègues. « Il y a une solidarité féminine assez impressionnante dans le milieu de l’entrepreneuriat », explique-t-elle. Le plafond de verre a été brisé depuis longtemps.

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